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    El hamdoulillah
    • october 20th, 2015 17:48 by Tresor
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    2. L’amour de l’autre
    On retrouve la métaphore du miroir dans l’amour de l’autre. Pour le philosophe andalou Ibn Ârabi, l’amour se rapproche d’une idée de survivance en Dieu. En d’autres termes, Dieu se manifeste dans chacune de ses créatures, et l’amour tel qu’il existe entre les hommes n’est autre que celui de la présence de Dieu. Par conséquent, la beauté dans le soufisme est un reflet du divin, un indice qui oriente l’homme dans sa quête de la Vérité absolue, celle de l’Unité transcendantale entre les hommes et l’univers, et a fortiori le divin
    • october 20th, 2015 07:24 by Tresor
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    1. L’amour du divin
    Le message d’amour au centre du soufisme est souvent source d’incompréhensions. En réalité, il est exclusivement amour de Dieu. Pour le mystique perse Al Hallaj, l’amour est un renoncement à soi, un “effacement du sujet en Dieu”. Il s’agit d’aimer Dieu puisque seul Dieu est. Pour ce faire, il est nécessaire de se connaître soi-même, de se délester de la jalousie, de l’intérêt, de l’intolérance et de la haine. Dans l’imaginaire soufi, le cœur est un miroir. Il faut le polir, le nettoyer, l’entretenir, pour espérer y voir le reflet du divin. à travers cet enseignement, le soufisme nous apprend ainsi à mieux aimer.
    • october 20th, 2015 07:23 by Tresor
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    10 clés pour comprendre le soufisme

    Si l’islam est un corps, le soufisme en est le cœur”, écrit cheikh Khaled Bentounès dans Le soufisme, cœur de l’islam. Communément appelé mystique musulmane, le soufisme est un chemin spirituel balisé par des maîtres, qui permet par la purification de l’âme et l’expérience de l’amour, de l’humilité et de la fraternité, d’accéder à un état de grâce divine. Ce parcours initiatique s’achève inexorablement par un retour à soi-même, à travers la découverte que Dieu, les hommes et l’univers ne font qu’un. Aujourd’hui, alors que la spiritualité suscite un regain d’intérêt, la littérature du soufisme fascine et séduit. Preuve en est par exemple le succès commercial de Soufi, mon amour, l’histoire d’une bourgeoise américaine blasée qui découvre l’amour soufi à travers une biographie consacrée à Rumi, grand poète perse du XIIIe siècle, puis dans la relation cyber-épistolaire qu’elle entretient avec l’auteur de l’ouvrage. à mi-chemin entre le conte philosophique type L’Alchimiste, et la spiritualité facile d’un Eat, Pray, Love, le best-seller d’Elif Shafak est prenant, excitant, même un peu “dangereux”. Dangereux dans le sens où il peut réduire le soufisme à une sorte de thérapie spirituelle à la mode, plus exotique que mystique.
    • october 20th, 2015 07:22 by Tresor
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    Bismillah
    • october 18th, 2015 20:14 by Tresor
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